Ce terme est souvent repris pour les parties de la voie publique sur lesquelles les usagers doivent rouler. Par exemple, un cycliste doit rouler sur la piste cyclable mais celle-ci doit être praticable. Il n’y a pas d’explication sur cette notion qui reste assez subjective. Il est évident que si des branchages sont parsemés suite à des vents violents, ou si des coulées de boue recouvre le revêtement, la piste est non praticable. En revanche, si le parterre est « dégradé », il est non praticable pour des vélos avec de fins pneus mais il reste accessible pour des vélos tous terrains.